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7/31/2013

Alfa Romeo 147

Chaque fois qu'on traite le sujet d’une voiture italienne, on ne peut s’empêcher de chanter les louanges de sa belle esthétique. Il est ainsi admis que le design italien fait partie des meilleures écoles au monde et l’Alfa Romeo 147 en est le pafait exemple.
Lancée au début des années 2000, elle devait succéder au couple mythique Alfa 145 et 146. Son design on le doit à l’italien Walter Da Silva qui signera quelques années plus tard, après son départ vers Volkswagen le design de la Seat Ibiza.


Un style qui n’est pas passé inaperçu des regards de spécialistes et fut récompensé du titre de voiture de l’année en 2001. C’est un modèle qui a rencontré beaucoup de succès puisque pour la seule période entre 2000 et 2008, ce n’est pas moins de 330 000 exemplaires qui ont été vendus. Durant sa période de commercialisation qui a duré dix ans, l’Alfa Romeo 147 est passée par la case restylage en 2004, une tache confié à Giugiaro créateur de la célèbre De Lorean.


Cette deuxième version restylée ne voyage pas dans le temps mais par contre elle s’inspire beaucoup de sa cousine la Brera, elle présente ainsi des formes plus arrondies que sa précédente. Les optiques aussi se voient plus acérées ainsi que le bouclier qui est davantage plongeant. Du côté de l’arrière, le hayon est plus bombé et les feux plus affilés qu’avant. Certains fans de la marque accusent cette deuxième version d’avoir perdu son originalité qui a tant fait son succès mais cela n’empêche pas d’être une très belle voiture. Les dimensions ont aussi changé puisque la longueur mesure désormais 4,22 m soit 5,4 cm de gagnés, la largeur 1,72 m et enfin la hauteur 1,44 m. Rappelons qu’au début, la 147 était disponible uniquement en version 3 portes, plus tard une version 5 portes a été proposé face à une demande croissante pour ce type de carrosserie.


Même son de cloche à l’intérieur, la planche de bord est redessinée et s’habille d’un nouveau revêtement gaufré, alors que la console prend le style façon aluminium. Les cadrans avec un fond blanc s’agrémentent eux d’un contour chromé du bel effet. Tous ces changements intervenus sur l’intérieur ajoutent ainsi une touche de sportivité à l’habitacle. Le coffre présente quant à lui un volume de rangement de 292 litres et qui peut passer à 1042 litres avec la banquette arrière rabattue.

Sous le capot l’Alfa Romeo 147 proposait entre 2000 et 2010 les moteurs essences suivants, 1.6L de 105 et 120 ch, 2.0L de 150 ch et pour la version GTA c’est un moteur 3.2L de 250 ch. Pour le diesel c’est un moteur 1.9L de 100, 115, 120, 126, 140 et 150 ch. Pour les performances le moteur diesel le plus puissant, en l’occurrence le 1.9L de 150 ch peut atteindre la vitesse maximale de 208 km/h et réaliser une accélération de 0 à 100 km/h en 8,8 sec. Sa consommation moyenne tourne autour de 5.9 litres / 100 km. C’est la motorisation diesel qui se démarque par sa sobriété et sa fiabilité et globalement l’Alfa 147 est une voiture qui procure une tenue de route équilibrée, sans oublier que grâce à un excellent compromis entre performance et consommation associée à un poids plutôt léger, la 147 offre une conduite vraiment agréable.


Il existe quatre niveaux de finition sur ce modèle, Milano, Selective, Distinctive et Design TI.

Le prix de l’Alfa Romeo 147 entre 3000 et 12 000 euros ( selon les versions et le kilométrage)

7/29/2013

Seat Toledo 4

Ces dernières années le constructeur ibérique SEAT voit la vie en rose et ça malgré une crise sans précédente qui frappe l’Espagne. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, les ventes du groupe augmentent de 14,6% en hexagone, alors qu’en Allemagne elle flirte avec les 21%. Des résultats remarquables grâce à une offensive produit sans précédent qui avoisinera les 2,6 milliards d’euros d’investissement et qui permettra de lancer un nouveau produit chaque trois mois. La nouvelle Seat Toledo fait partie de cette offensive, ainsi la berline 5 portes est remise au gout du jour pour séduire les familles à la recherche d’un véhicule spacieux et pratique pour les grands départs.


Cette nouvelle mouture de la Toledo est en réalité une version jumelle de la Skoda Rapid, ce qui est tout à fait normal comme les deux marques tournent dans le giron du géant allemand Volkswagen. Cette quatrième génération vient après 3 années d’absence du marché et tente de rééditer le succès de la première dynastie des années 90. Ciblant tout particulièrement les marchés en pleines croissances des pays émergents où ce genre de véhicule est très prisé, cela n’empêche pas la Toledo de posséder les atouts nécessaires pour séduire les conducteurs européens. Une des qualités indéniables de Seat, c’est bien sûr la touche Volkswagen qui se cache derrière ses modèles. Ainsi on peut trouver pas mal de pièces et de motorisations, issues directement de chez VW et qui donnent au produit final la qualité germanique mais mieux encore avec un prix modeste. Comparée à la version précédente, la Toledo 3 gagne quelques centimètres du coup sa longueur passe à 4,48m soit un gain de 2 cm, elle vient aussi s’intercaler entre deux autres modèles du groupe, la Seat Léon 4,31 mètres et l’Exeo avec ses 4,66 mètres de longueur.


Pour le design, elle reste fidèle aux codes stylistiques de Seat, ainsi la face avant exhibe fièrement la fameuse calandre trapézoïdale estampée à son milieu par le logo de la marque, sans oublier les optiques qui donnent ce regard typique aux modèles Seat.


Le capot cède à la mode des nervures et s’en agrémente d’une à son milieu.


À l'arrière les feux prennent une forme géométrique qui change radicalement des feux antécédents plutôt arrondis. Même son de cloche à l’intérieur qui ressemble beaucoup à celui de la Rapid. L’esprit Volkswagen plane incontestablement sur cet habitacle et si l’ambiance à bord est austère, l’ergonomie et la simplicité des commandes sont par contre exemplaires, quant à la finition elle est de bonne facture.


Le conducteur dispose d’une bonne assise et d’un confort correct même pour les grands gabarits. À l'arrière les passagers ne sont pas en reste, ils peuvent ainsi voyager jusqu’à trois dans de bonnes conditions. Une autre qualité de cet habitacle, c’est sa modularité et son espace généreux pour le rangement. Avec un coffre de 550 litres et si on rabat la banquette arrière la capacité passe à 1490 litres. La Toledo 4 a de quoi séduire les familles avec ses nombreux espaces de rangement comme boite à gant, porte bouteille logée dans la portière et même trappe ski pour les vacances.

Maintenant passons sous le capot où on découvre quatre moteurs essence et deux diesels. Commençons par la gamme essence qui comporte le 1.2 MPI de 75 ch, le 1.2 TSI de 85 ch, le 1.2 TSI de 105 ch est enfin le 1.4 TSI de 122 ch. Pour le diesel il y a le 1.6 TDI CR de 105 ch et d’une puissance de 90 ch qui sera disponible au second semestre de l'année 2013. Pour la transmission la Toledo 4 propose une boîte manuelle à 5 rapports sur toute la gamme motrice à l’exception des moteurs 1.2 TSI de 105 ch et de 122 ch qui disposent respectivement d’une boîte manuelle de 6 rapports et automatique DSG 7. Pour la gamme diesel qui sera comme le veut la tradition la plus vendue en hexagone, le moteur 1.6 TDI d’une puissance de 105 ch à 4400 Tr/min et disposant d’un couple de 250 nm à 1500 Tr/min accomplit sa tâche avec brio. Il peut ainsi propulser la Toledo 4 à une vitesse maximale de 190 km/h et réalise une accélération de 0 à 100 km/h en 10,6 sec. Sa consommation est évaluée à 4,4 litres/100 km alors que le bloc badgé du label Ecomotive promet un 3,9 litres/100 km. Pour la gemme essence le 1.2 TSI de 85 ch est amplement suffisante pour mouvoir les 1320 kg de la Toledo 4, il dispose ainsi d’un couple de 160 Nm disponible à 1500 tr/min. Comme performance il peut atteindre les 183 km/h comme vitesse maximale et réalise un 0 à 100 km/h en 11,8 sec, pour la consommation elle est de 5,1 litres/km.


Côté sécurité la Toledo quatrième du nom propose une myriade de systèmes et d’équipements sécuritaires comme 6 airbags (conducteur et passagers, latéraux et rideaux) ainsi que la possibilité de déconnecter de l’airbag passager, l’ESC (contrôle électronique de la trajectoire), l’EBA (assistance au freinage d’urgence), l’ASR (antiblocage des roues), la Ceintures de sécurité avant avec prétensionneurs électriques, l’ABS électronique ou encore l’ISOFIX avec Top Tether à l'arrière. Il existe 3 niveaux de référence Toledo, Reference et Style pour le haut de gamme.

Le prix de la Seat Toledo 4 à partir de 14 060 euros (modèle 1.2 75 ch).

7/27/2013

Skoda Octavia 3

Véritable bestseller à la sauce tchèque, la Skoda Octavia continue de séduire de plus en plus de conducteurs à travers le monde. Il faut dire que depuis son lancement en 1996, l’Octavia s’est vendu à plus de 3,7 millions d’exemplaires, elle devient ainsi le modèle le plus populaire de la marque. Cette année 2013 lève le rideau sur la troisième génération de l’Octavia, un modèle qui voit les choses en grand et adopte une attitude très agressive vis-à-vis de ses concurrents, puisque le constructeur tchèque compte bien en écouler pas moins d’un demi-million d’exemplaires par an.


Pour ce faire, Skoda continue avec sa stratégie gagnante qui consiste à proposer des berlines spacieuses et économiques avec comme arrière-fond la marque Volkswagen. Cette nouvelle mouture de la berline tchèque s’équipe désormais de la nouvelle plateforme MQB, une plateforme modulaire révolutionnaire du groupe Volkswagen qui équipera ainsi ses propres modèles mais aussi ceux d’Audi, Seat et bien sûr Skoda. Grâce à ce nouveau châssis, l’Octavia 3 continue de grandir et gagne encore quelques centimètres sur la version précédente.


On s’aperçoit ainsi que la longueur passe à 4,81 mètres soit un gain de 9 cm, alors que la largeur gagne 4,5 cm pour se fixer à 2,22 mètres. L’empattement aussi change et passe à 2,286 mètres loin devant les 2,578 m de la seconde génération. Des nouvelles mensurations qui donnent des airs de familial à cette berline compacte. Ce gain de taille, s’accompagne de l’autre côté d’une perte de poids qui avoisine les 102 kg. Du point de vue design, cette nouvelle mouture exhibe des lignes d'avantage tendues et dynamiques et on peut même dire que le style se modernise. Elle arbore ainsi une nouvelle calandre déjà aperçue sur la Rapid. Le regard aussi change avec des optiques acérées qui confère davantage de caractère au véhicule.


L’arrière lui reste fidèle à la forme en C qui caractérise ses feux et commence à ressembler à l’arrière des anciennes Audi A4. Cette augmentation des dimensions extérieures du véhicule profite indubitablement à l’habitacle qui était déjà réputé pour être spacieuse, voit encore cette habitabilité progresser. On découvre ainsi que la largeur aux coudes gagne 39 mm et 26 mm pour l’avant et l’arrière, tandis que l’espace aux jambes progresse aussi pour se fixer à 73 mm. La nouvelle Octavia 2013 peut accueillir 5 personnes avec un confort optimal. Côté rangement, le coffre de la Skoda Octavia 3 augmente en volume et passe ainsi à 590 et 610 litres pour la version berline et combi, tandis qu’avec les sièges arrière rabattus, le cubage passe à 1580 et 1740 litres pour les deux versions berline et combi. On notera que l’accès à ce coffre est facilité par sa grande ouverture en hayon, il est aussi accompagné en option de jeu de filet pour maintenir en place les petits objets. D’autres compartiments de rangement sont disponibles partout dans l’habitacle comme sous les sièges ou encore avec la boîte à gant éclairée et réfrigérée sans oublier les portes boissons et porte-lunette.


Même son de cloche pour la finition qui progresse elle aussi et monte en gamme, imitant ses grandes cousines de chez Volkswagen par la sobriété de la présentation et le choix des matériaux. Sur la nouvelle Octavia la sécurité n’est pas en reste, puisqu’on trouve une panoplie de système, on peut citer les 7 airbags en série accompagnés d’un airbag passager déconnectable pour pouvoir placer un siège bébé, l’ESC incluant ABS, EDL, ASR, EBD, DSR, MSR,, TSA, ESBS, HBA et MKB, le nouveau système de détection de fatigue (Driver Activity Assist), les phares avant bi-xénon directionnel avec système auto-adaptatif AFS… Elle propose aussi un système GPS high-tech qui apparaît à l’approche d’une main.

Sous le capot on découvre pour la gamme essence trois moteurs, le 1,2 TSI de 85 et 105 ch, le 1,4 TSI de 140 ch et enfin le 1,8 TSI de 180 ch. On notera aussi qu’une version sportive Rs devrait débarquer très prochainement et embarquera un moteur essence 2.0L de 220 ch. Toutes les motorisations sont épaulées par une boîte manuelle de 6 rapports. Pour la transmission automatique on trouve une boîte robotisée à double embrayage DSG qui accompagne les blocs 1,6 TDI 105ch, 2,0 TDI 150ch DSG, 1,4 TSI 140ch DSG et 1,8 TSI 180ch DSG. La motorisation diesel se démarque par sa faible consommation à l’instar du bloc 1,6 TDI de 105ch qui voit ses besoins réduits à seulement 3,8 litres/100 km avec des rejets de 99 g/km.


Globalement on peut qualifier la mécanique de cette nouvelle Octavia de performante et sobre. Il existe quatre niveaux de finition Active, Ambition, Business Plus et Elegance.

Le prix de la Skoda Octavia 2013 à partir de 17 850 euros.

7/20/2013

Lamborghini Aventador

Après nos deux précédents articles sur la Lamborghini Gallardo et la Reventón, nous abordons aujourd’hui celui de l’Aventador. Sortie il y a tout juste deux ans, la Lamborghini Aventador avait volé la vedette à tous les modèles présentés lors du salon 2011 de Genève. Et ce n’est guère surprenant, car avec son look qui tient plus de l’avion furtif, que de la simple voiture de sport, elle ne laisse personne indifférents.


Son histoire commence quand celle d’un autre modèle de légende se termine, la Murciélago. C’est après dix ans de bons et loyaux services que la marque au taureau décide de remplacer sa star la Murciélago par un autre modèle tout aussi révolutionnaire et dédié aux performances pures et dures mais qui en revanche est en adéquation avec les besoins de ses clients. Car, faut-il le rappeler, la Murciélago trainait derrière elle quelques vilains défauts comme d’être très gloutonne avec une consommation qui avoisinait les 20 litres/100km, sans oublier l’absence de certaines technologies comme l’ESP, chose inimaginable pour un véhicule de ce niveau. Bref, la Lamborghini Aventador offre le meilleur en matière d'équipement et de finitions. D’ailleurs, les fans de Lambo ne se sont pas trompés puisque le modèle s’est déjà écoulé à 2000 exemplaires en seulement deux ans, la Murciélago n’ayant atteint cet objectif qu’au bout de quatre ans.


Le design de l’Aventador signé par le Centro Stile, trouve son inspiration dans celui de la Reventón par ses lignes acérées et tendues comme une véritable sculpture d’art moderne dont le thème serait la puissance. Son code stylistique s’inscrit autour de lignes géométriques qui donnent cet aspect visuel si futuriste.


Un véhicule qui s’inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs par sa proue qui se relie d’un seul trait à l’autre extrémité de la poupe. Un foisonnement de lignes et de formes qui cache un aérodynamisme très poussé, à l’instar de son aileron arrière réglé électroniquement et qui peut changer d’inclinaison pour augmenter la stabilité du véhicule selon la vitesse de ce dernier. Un travail sur l’aérodynamisme accompli de mains de maitre et qui a conduit à améliorer les performances et la consommation. Sur le papier, l’Aventador affiche les dimensions suivantes, 4,78 m de long, 2,26 m de large, 1,13 m de haut et enfin un empattement de 2,7 m. L’utilisation de fibre de carbone dans la fabrication du châssis et d’aluminium pour les autres parties ont permis de réduire considérablement le poids qui avoisine les 1575 kg, ce qui est pas mal pour un véhicule de cette catégorie. Passons maintenant à l’intérieur qui surprendra plus d’un, surtout qu’avec une hauteur de tout juste 1.13 m, soit la taille d’un petit enfant, on a du mal à imaginer trouver sa place là-dedans. Et ben, il ne faut pas se fier aux apparences, l’habitacle est plutôt spacieux et accueillant.


Affichant des formes hexagonales et trapézoïdales, le design de l’habitacle reste fidèle à celui de l’extérieur.


Comparés aux versions précédentes le confort et l’ergonomie prennent du galon sur cette Aventador. L’accès à cet intérieur passe inexorablement par les portes papillon ou Lambo doors qui s’ouvrent vers le haut et donnent cette touche si spéciale aux Lamborghini.


Ça en jette aussi du côté du tableau de bord qui se réincarne sous la forme d’un futuriste écran TFT-LCD affichant les combinés d’instrumentation comme dans un avion. Un autre écran sur la console est dédié lui à la navigation et au multimédia. Dans le royaume de la vitesse, que serait une Supercar sans une motorisation digne de son rang. Pour la Lamborghini Aventador, c’est un fougueux V12 de 6,5 litres avec un angle d’inclinaison de 60 degrés et délivrant 700 chevaux à 8250tr/min, alors que le couple maximum de 690 Nm est atteint à 5500 tr/min. Une motorisation nouvelle, car elle remplace le bon vieux V12 de Giotto Bizzarini datant des années soixante. Un moteur dont les performances font frémir les autres voitures et qui fait bondir le bolide de 0 à 100 km/h en seulement 2,9 sec et atteint une vitesse mirobolante de 350 km/h. La consommation a été optimisée et n’avoisine que les 17,20 litres/100km alors que les rejets de Co2 sont de 350 g/km. Contrairement aux apparences, le véhicule est facile à manœuvrer grâce aux choix judicieux de ses concepteurs comme d’adopter une nouvelle boîte ISR robotisée qui fait gagner beaucoup de temps entre les passages (40% de mieux que la Gallardo). Il existe 5 modes de conduite, en mode manuel, Strada, Sport et Corsa et en mode automatique, Strada-auto et Corsa-auto. Elle est aussi dotée d’un coupleur Haldex de 4e génération qui transforme l’Aventador en des 4 roues motrices. Ses suspensions à poussoir sortent tout droit de l’univers Formule1 et pour stopper les ardeurs de la bête, des freins à disques ventilés en carbone-céramique de 400 mm de diamètre sont placés à l’avant ainsi qu’à l’arrière mais cette fois de 380 mm de diamètre.


Enfin il faut savoir que la Lamborghini Aventador est disponible en une vaste gamme de couleurs pour l’extérieur et l’intérieur et si on ajoute le programme Ad Parsonam, la personnalisation du véhicule devient infinie. Côté équipement la belle offre à travers son pack standard de système électronique, l’ABS, l’ESP, le contrôle anti-patinage, le répartiteur électronique de freinage, le Drive Select…etc.

Le prix de la Lamborghini Aventador à partir de 314 548 euros.

7/18/2013

Jaguar XJ

Quand le constructeur indien Tata avait annoncé son intention de racheter les prestigieuses marques anglaises Jaguar et Land Rover, beaucoup de personnes craignaient de voir sombrer dans l'oubli ces véritables joyaux de l’industrie anglaise.
Avec le temps, on se rend compte que ce n’était pas une si mauvaise affaire que ça. Les deux constructeurs d’outre-Manche, semblent avoir retrouvé une seconde jeunesse. De nouveaux modèles débordant de fraicheur et d’audace viennent dépoussiérer les vieux catalogues des deux protagonistes de l’automobile british. L’exemple de Jaguar est édifiant avec sa gracieuse lady XJ au summum de sa beauté notamment grâce au nouveau modèle 351.


Stylistiquement parlant, Jaguar semble ainsi sous l’ère Tata avoir tourné la page des designs néo-rétro pour une esthétique moderne et très aguicheuse. Depuis 1968, la fameuse carrosserie tricorps accompagnait tous les modèles XJ, dorénavant elle laisse sa place à une simple carrosserie bicorps plus adaptée aux nouveaux codes stylistiques du modèle. C’est au directeur du design Ian Callum que cette lourde tâche est confiée, il avouera même dans certaines de ses interviews qu’il prenait beaucoup de risque avec tous ces changements surtout avec une clientèle très conservatrice. Il faut l’avouer, la nouvelle Jaguar XJ est vraiment réussie. Son design inspire puissance et dynamisme sans pour autant laisser la classe et l’élégance de côté. L’avant par exemple abandonne les doubles optiques ronds pour des phares acérés donnant ainsi plus d’agressivité au véhicule. Le capot est quant à lui incurvé et entrecoupé de nervures alors que la calandre est en nid d'abeilles.


Du côté de l’arrière, les feux semblent sortir tout droit d’une Lancia Thesis car il faut dire, la nouvelle plastique de la XJ imite un peu celle des belles voitures italiennes comme la Maserati Quattroporte mais sans trop tomber dans le baroque. La surface vitrée s’inspire directement de celle de son aïeul XJ MK2 des années 60s mais avec plus de courbure. Pour finir la description, la XJ conserve toujours une ceinture de caisse élevée. Le modèle affiche des dimensions majestueuses puisqu’il mesure 5,12 m pour la longueur, 1,89 m pour la largeur, 1,45 m pour la largeur et enfin 3,03 m pour l’empattement. Elle est aussi un modèle très à la pointe de la technologie en utilisant une caisse conçu en aluminium comme dans l'industrie aérospatiale, elle réduit son poids de 150 kg comparé à la version précédente.


Passons maintenant à l’intérieur du véhicule où nous accueil une ambiance chaleureuse et stylée, bref So british. Le choix de matériaux de qualité est indéniable, le bois est présent en force à bord sans oublier le cuir qui ajoutent de la noblesse à cet intérieur. Grâce à ses dimensions généreuses, l’habitacle offre une habitabilité exceptionnelle même pour une personne de grand gabarit, tandis que le coffre affiche un volume de chargement de 520 litres. La Jaguar XJ se veut aussi une voiture très bien équipée pour offrir un confort optimal à l’instar du volant multifonction, de l'écran tactile de 8 pouces Double vision qui permet à la fois de consulter les infos du véhicule pour le conducteur mais aussi de regarder simplement un film pour les passagers. S’ajoutent à cela un système audio haute qualité signé Bowers & Wilkins de 1200 W. Côté motorisation, le vaisseau amiral propose un diesel 3.0 V6 Td de 275 ch et deux moteurs essence, le 3.0 V6 S/C de 340ch ainsi que le titanesque 5.0 V8 SC de 510ch. Pour les performances la vitesse maximale est limitée à 250 km/h sur toute la gamme pour l’accélération c’est le 5.0 V8 SC qui réalise un 0 à 100 km/h en 4,9 sec pas mal pour un véhicule qui pèse presque 1.9 tonnes. L’autre bloc essence ne fait que 5,9 sec tandis que le diesel fait 6,4 sec. Toutes les motorisations sont épaulées par une boîte automatique à 8 rapports qui procure un changement fluide des vitesses et une consommation réduite. Une nouvelle version quatre roues motrices XJ AWD vient tout juste d’être commercialisée pour les amateurs de ce genre de véhicule, elle est doté de la motorisation V6 3.0 de 340 ch.


La sécurité n’est pas en reste sur la XJ, le modèle est doté d’une myriade de système à commencer par sa propre carrosserie qui confère au véhicule une rigidité optimale de quoi protéger efficacement les occupants à bord. S’ajoutent à cela d’autres équipements comme le régulateur automatique de vitesse et de distance, le système de freinage antiblocage (ABS), le système de surveillance des angles morts, le système de détection de choc avec piéton ou encore le système de contrôle de la pression des pneus.

Le prix de la Jaguar XJ à partir de 81 400 euros (modèle 3.0 V6 Td 275)

7/17/2013

Toyota GT 86

Il est bien connu que Toyota est un très grand constructeur, qui sait produire des voitures très réussies sur le plan technologique et esthétique comme la Prius, la Yaris, l’Auris…etc. Il est même devenu au fil des années un pionnier dans le domaine des voitures hybrides. Ces choix stratégiques, l’ont poussé peu à peu à délaisser sa filière sportive qui force est de constater, manquée cruellement de nouveautés.


Avec la nouvelle Toyota GT 86, le constructeur nippon fait un retour aux sources dans un segment où il s’est fait beaucoup illustrer dans le passé, à travers des modèles mythiques comme la fabuleuse Toyota GT2000. Un retour qu’on doit à son président Akio Toyoda qui voulait une voiture dédiée à la sportivité, de quoi ajouter une touche de fantaisie qui faisait défaut à la gamme Toyota. Pour concevoir ce nouveau coupé, Toyota s’est associé à un spécialiste des voitures sportives, en l’occurrence la firme Subaru. Rappelons aussi que ce nouveau modèle s’est beaucoup fait attendre puisque ce n’est pas moins de trois ans qui se sont écoulés entre la première présentation du Concept FT-86 en 2009 et la production qui n'a débuté qu’en 2012. Avec sa désignation GT 86 on pourrait penser intuitivement que c’est en référence à la mythique AE86 mais ses concepteurs affirment que le chiffre 86 n’est juste que le rapport d’alésage-course de son moteur. Le design extérieur affiche des lignes tendues avec une silhouette très aérodynamique qui s’inspire beaucoup de la GT 2000.


Sa carrosserie est basse comparée à d’autre voitures, d’ailleurs son centre de gravité est situé à seulement 460 mm, pour vous donner un ordre de grandeur, c’est moins qu’une Porsche Cayman. La face avant se démarque par ses optiques acérées qui lui donnent beaucoup de caractère. Une double nervure sur le capot vient diriger inévitablement notre regard sur le logo de la marque.

Les flancs sont très travaillés et les ailes généreusement galbées donnent une impression de puissance au véhicule. Quant aux dimensions elles sont les suivantes : 4,24 m de longueur, 1,77 m de largeur, 1,82 m de hauteur et enfin 2,57 m pour l’empattement.


Le poids lui a été optimisé et n’affiche que 1200 kg, ce qui est exceptionnel pour un véhicule de son gabarit.


À l'intérieur de l’habitacle, la GT 86 bénéficie d’une assise très basse et d'une ambiance dédiée à la sportivité comme avec son petit volant et ses sièges-baquets. La planche de bord s’habille d’une imitation carbone accompagnée çà et là de surpiqures rouges. Certains diront que cet habitacle est un peu spartiate mais il faut avouer que pour un coupé sport d’une longueur de seulement 4,24 mètres, la GT 86 offre un confort assez raisonnable. L’accessibilité à cet intérieur se voit elle facilitée par de larges portières et un pilier B reculé. Le coffre présente lui un volume de rangement de 240 litres.

Passons maintenant au chapitre motorisation, la Toyota GT 86 propose un moteur 2 litres atmosphérique de 4 cylindres à plat, une des spécialités de Subaru et bénéficiant du fameux rapport alésage-course 86X86. Ce bloc développe une puissance de 200 ch à 7000 tr/min et un couple de 205 Nm disponible à 6400tr/min. Il peut pousser la GT 86 à une vitesse de 226 km/h et lui permet de réaliser un 0 à 100 km/h en 7,6 sec. La consommation est quant à elle aux alentours de 7,8 litres/100 km et les rejets de Co2 sont de 181 g/km. Il existe une seule finition sur ce modèle de Toyota et qui propose de série de nombreux équipements comme la clim automatique à réglage séparé, le système multimédia Toyota Touch, le volant, le pommeau de levier de vitesses et le levier de frein à main gainé cuir avec surpiqûres rouges, le pédalier et repose-pied en aluminium, le régulateur de vitesse et Compteurs analogique et digital.


Dotée de qualités indéniables comme d’un centre de gravité bas ainsi que d’un petit gabarit, la Toyota GT 86 offre de véritables sensations de sportivité et de plaisir.

Le prix de la Toyota GT 86 est à partir de 27 900 euros.

7/15/2013

Mercedes Classe E 2013

Si on devait définir le véritable cœur battant de la marque Mercedes, ça serait bien sûr avec son modèle Classe E. Apparu il y a 37 ans, elle a permis à la firme allemande de construire véritablement sa notoriété et ça à travers une myriade de lignée toutes aussi performantes les unes que les autres. Elle est aussi devenue au fil du temps la voiture des chefs d’entreprise et des hautes personnalités par excellence. Sa dernière génération sortie en 2009 passe cette année 2013 par la case restylage. Une évolution rendue nécessaire par une concurrence qui devient de plus en plus féroce dans le segment Premium. Première constatation qu’on peut avoir sur cette dernière version, le modèle a subi un changement radical de quoi lui donner de nouveaux codes stylistiques. Désormais la nouvelle Classe E se donne les airs d’une sportive avec des lignes qui sont beaucoup plus fluides. Le principal changement qui saute aux yeux, c’est les optiques qui fusionnent en un seul bloc et tournent ainsi la page des doubles projecteurs rectangulaires. Ces dernières sont rehaussées de LED et donnent à l’avant un regard vraiment hypnotisant. Le bouclier retient l’attention par ses formes sculptées et loge d’énormes prises d’air arrondies. La calandre aussi est plus massive et se présente selon la finition choisie sous deux formes différentes.


Pour la première version « Eleguance », plus classique, elle arbore la fameuse étoile d’argent en haut sur le capot alors que dans la deuxième version « Avantgarde » plus sportive, elle se loge au milieu de la calandre.


Le profil aussi se muscle avec des plis sur les ailes et les portières arrière qui suggèrent toute la puissance que cache le véhicule. Pour l’arrière, les feux se dotent d’un ensemble de technologies LED et de fibres optiques, laissant ainsi la possibilité de régler l’intensité lumineuse. S’ajoute à cela des inserts chromés qui rehaussent le coffre du plus bel effet.


La nouvelle Classe E affiche les dimensions suivantes, 4,88 m de longueur, 1,85 m de largeur et 1,47 m de hauteur. À l'intérieur, on retrouve tout l’esprit perfectionniste de Mercedes dans la finition et la présentation.


Pour les changements, ils sont beaucoup plus subtils, on notera cependant l’apparition d’une belle horloge analogique au centre de la console. S’ajoute à cela une planche de bord redessinée tout comme les aérateurs et le volant. Pour ce qui est du chargement, le coffre présente un volume de 540 litres qui est l’un des meilleurs du segment.


Le confort à bord de la Classe E est exceptionnel grâce à une panoplie d’équipement en série ou en option comme avec les sièges multicontours actifs (en option) qui s’adaptent grâce à des coussins d'air réglables à la morphologie de chaque personne ou plus encore si on choisit l’option sièges climatisés qui refroidit ou chauffe par le moyen de ventilateurs intégrés dans les sièges même. Il y a aussi la climatisation automatique THERMATIC, le toit ouvrant panoramique (en option)…etc. S’il y a un domaine où les ingénieurs de chez Mercedes ne badinent pas, c’est bien celui de la sécurité. Sur la classe tout a été fait pour offrir le maximum au conducteur et passagers. La liste des équipements est vraiment impressionnante on peut citer comme exemple celui du système composé de quatre caméras et d’un calculateur qui permet de détecter piéton, obstacle, voiture ainsi que les panneaux de signalisation et ça sur une distance de 50 mètres. Il y a aussi l’avertisseur d’angle mort actif qui détecte et avertit en cas de présence d’un véhicule dans la zone de surveillance, le système ATTENTION ASSIST qui comme son nom l’indique avertit le conducteur quand ce dernier donne des signes de fatigue ou de somnolence. Le COLLISION PREVENTION ASSIST qui entre en action lorsque la distance qui sépare le conducteur du véhicule précédent est faible. Le système de freinage d'urgence anticipatif BAS PLUS assiste qui est actif jusqu’à une vitesse de 250 km/h, ce dernier assiste le conducteur durant l’action de freinage, il prend aussi en charge sur cette nouvelle Classe E, les objets venant de la gauche ou de la droite. Ou encore un système complet d’airbag comprenant aussi airbags latéraux, bassin, rideau pour le conducteur et le passager ainsi qu’un airbag genoux pour le conducteur…etc. Côté système multimédia, le COMAND Online est un système au top de la technologie et qui offre Internet, Lecteur DVD, Autoradio avec égaliseur, Commande vocale, Bluetooth, prise USB… Pour la sono vous aurez le choix entre les très réputés Bang & Olufsen ou Harman Kardon. Du point de vue aide à la conduite, la Classe E se dote aussi d’une multitude de système d’aides à la conduite comme l’aide au Parking Active, qui aide le conducteur à trouver un créneau idéal, le DISTRONIC PLUS qui maintient automatiquement la distance de sécurité avec les autres véhicules, la caméra de recul, le système de rappel de limitation de vitesse qui sont indiqué par les signalisations sur votre trajet ainsi que celles des données du système de navigation…

Passons maintenant à la motorisation, la nouvelle Mercedes Classe E propose une large gamme de moteur composée de 8 diesels et 11 essences. Pour le diesel, la Classe E embarque un moteur E200 CDI de 136 ch, un E220 CDI de 170 ch, un E250 CDI de 204 ch, un E300 BlueTEC de 204 et 231 ch, un E350 BlueTEC de 252 ch. Pour l’essence on trouve un moteur E200 de 184 ch, un E250 de 211 ch, un E300 de 252 ch, un E350 de 306 ch, un E500 de 408 ch, un E63 AMG de 557 et 585 ch. Côté performance, la vitesse maximale s’échelonne entre 210 et 250 km/h selon le type de motorisation. Sur cette longue liste de moteurs, il y en a un qui se démarque des autres en alliant puissance et économie de carburant, c’est l'E300 BlueTEC HYBRID, il peut atteindre les 242 km/h de vitesse ainsi qu’une accélération de 0 à 100 Km/h en 7,5 sec et Cerise sur le gâteau, il est aussi peu glouton puisque sa consommation tourne autour de 4,1-4,2 litres/100 km alors que ses rejets sont entre 107 et 110 g/km.


Le prix de la Mercedes Classe E à partir de 40 600 €.

7/14/2013

Chevrolet Orlando

Le Chevrolet Orlando est un modèle qui entre dans une stratégie bien définie par le constructeur américain, celle de conquérir le marché européen par des véhicules plus adaptés à ses exigences et à sa culture, il tourne ainsi la page des vieux modèles Daewoo.
Après les succès réalisés avec sa Captiva dans le segment des SUV ou encore celle de l’Aveo et de la Spark pour les Citadines, c’est au tour de celui des monospaces compacts de devenir la cible de Chevrolet avec son modèle Orlando. C’est en 2008 que la Chevrolet Orlando fera son apparition sur le vieux continent, au Mondial de l’automobile.


C’est un modèle à mi-chemin entre le SUV et le monospace, affichant des dimensions généreuses puisqu’il mesure 4,65 m de long, 1,84 m de large, 1,63 de haut et enfin un empattement de 2,76 m. Avec sa longueur de 4,65 m, il est plus grand que ses concurrents français, le Renault Grand Scenic ne mesurant que 4,57 m et le Citroën Xara Picasso que 4,47 m. Des dimensions qui font de lui un véhicule familial par excellence. Faut-il rappeler ici que l’Orlando, est basé sur le Chevrolet Cruze qui est lui-même un modèle très réussi. Son design ne cache pas ses gènes américains, il arbore une esthétique très virile donnant une forte impression de puissance et de robustesse. Sa calandre est divisée en deux parties par une large bande qui accueille l’emblème de la marque.


Du côté de l’arrière elle reprend les feux de sa cousine la Volt. Impressionnante aussi par sa ceinture de caisse très élevée comme sur les grands baroudeurs.


À l'intérieur de l’habitacle on se croirait à bord d’une Chevrolet Malibu tellement la ressemblance est grande, il est aussi très spacieux d’autant qu’il peut accueillir jusqu’à 7 personnes. Un habitacle qui dispose aussi de nombreux compartiments de rangement comme avec l’ingénieuse console centrale qui se dissimule et laisse place à un astucieux réceptacle de rangement. S’ajoute à cela des compartiments dans les portes et bien sûr le coffre qui affiche lui un volume de rangement s’échelonnant entre 454 et 852 litres. Les dernières places sont faciles d’accès grâce au basculement de la deuxième rangée. Toutes les assises sont aisément repliables, celles de la 2éme rangée en 2/3-1/3 et pour la 3éme en 50/50.


Le design intérieur est vraiment séduisant à l’instar de sa planche de bord qui trouve son inspiration dans celle de la Corvette. Pour la finition elle monte en grade avec l’Orlando et n’a plus rien à voir avec les anciens modèles Daewoo. C'est aussi un véhicule très confortable notamment par ses sièges-baquets surélevés qui donnent une excellente vue sur la route, que ce soit sur l’avant ou sur les côtés. Pour la motorisation, Le Chevrolet Orlando reprend sans surprise celle du Cruze, il embarque ainsi pour la gamme essence, les blocs 1.8L 16V et le 1.4L Turbo, les deux délivrant une puissance de 140 ch. Pour le diesel c’est un 2.0VCDi de 130 et 163 ch. Pour ceux qui roulent beaucoup, le moteur 2.0 VCDi de 130 à 3800tr/min semble remplir la tâche convenablement. Il affiche une consommation assez raisonnable, de 5,3 litres/100 km et des rejets de 139 g/km. Comme performance il peut atteindre une vitesse max de 180 km/h ainsi qu’une accélération de 0 à 100 km/h en 10,5 sec. La sécurité n’est pas en reste sur l’Orlando, on trouve sur ce dernier un système complet d’Airbags, l’ESC, la fixation Isofix, l’ABS avec assistance au freinage d'urgence ou encore l’antidémarrage électronique. Côté équipement, le Chevrolet se montre généreux dès l’entrée de gamme LS avec ordinateur de bord, rétroviseur extérieur dégivrants et réglables électriquement, direction assistée, système audio RDS, CD MP3, climatisation manuelle/automatique…

Il existe quatre niveaux de finition LS, LT, LTZ et LTZ . 




Le prix du Chevrolet Cruze à partir de 21 000 euros.

7/13/2013

BMW Série 6 Gran Coupé

L’univers de l’automobile est en perpétuel changement, de nouveau concept de voiture s’enchaîne à un rythme effréné pour séduire un public plus large et on peut dire que cette dernière décennie a été riche en nouveaux modèles. Parmi ces nouveaux concepts qui ont vu le jour, il y a celui du coupé quatre portes, un véhicule à mi-chemin entre la berline et le coupé. Lancé en premier par le constructeur allemand Mercedes, il y a neuf ans avec sa CLS. L’idée paraissait à l’époque un peu farfelue et risquée, mais c’est sans compter sur l’esprit créatif et perfectionniste des ingénieurs allemands qui ont réussi à développer un modèle qui connaîtra un succès mondial. La CLS venait ainsi de poser les bases d’un tout nouveau segment qui attirera d’autres constructeurs à l’instar d’Audi, Porsche et Jaguar. Curieusement, il manquait à cette liste le nom de BMW qui préféra prendre son temps avant de répliquer par sa nouvelle BMW série 6 Gran Coupé.


La Série 6 Gran Coupé est un modèle qui a été conçu à partir d’un coupé et non pas d’une berline comme chez la concurrence.


Une voiture élancée qui ne mesure pas moins de 5,01 mètres de longueur, soit plus grande que l’Audi A7 Sportback (4,97 m), la Porsche Panamera (4,97 m) et la Mercedes CLS (4,94 m) mais moins que la Jaguar XJ (5,13 m). Les autres dimensions sont 1,89 m de largeur et 1,39 m de hauteur, tandis que l’empattement se voit lui rallonger de 113 mm par rapport à la version coupée. Son design présente une allure élégante et sportive avec des lignes fluides. Sa carrosserie présente un grand capot allongé et un habitacle en position reculé de quoi accentuer cette impression de sportivité qu’on a du véhicule. La face avant de la Série 6 Gran Coupé possède du tempérament notamment avec ses optiques rehaussées de LED et reconnaissables entre mille.


L’arrière aussi n’est pas en reste et affiche ostensiblement son côté dynamique par ses lignes horizontales et en V, tandis que le troisième feu occupant toute la largeur du toit, la rend plus visible par les voitures de derrière. De profil, les galbes et le pli typique de la vitre arrière latérale nommé pan de Hofmeister affirment toute la puissance que cache ce modèle d’exception. Pour ce qui est de l’habitacle, les dimensions extérieures généreuses du Gran Coupé permettent à son intérieur d’accueillir cinq personnes dans de bonnes conditions.


La finition est vraiment exemplaire accompagnée de matériaux de qualité comme du cuir, du bois précieux et de métaux nobles. Le confort à bord est roi et s’ajoute à une ergonomie bien pensée. Le design intérieur conserve lui les codes stylistiques de l’extérieur comme avec les galbes sur la planche de bord.Une planche de bord qui se présente en deux niveaux distincts pour une utilisation plus aisée. Le coffre offre lui un volume de rangement de 460 litres et qui peut passer à 1265 litres avec la banquette arrière rabattue. Sous le capot du Gran Coupé on trouve une motorisation performante et puissante représentée par deux moteurs essence et un diesel. Pour la gamme essence il y a le 650i qui est un fougueux 8 cylindre développant 445 ch à 5500 trs/min et pouvant réaliser une accélération de 0 à 100 km/h en 4,6 sec. L’autre moteur de la gamme essence c’est le 640i de 6 cylindres développant 320 ch et qui peut accélérer de 0 à 100 km/h en 5,4 sec. Pour le Diesel c’est le 640d, un autre 6 cylindres d’une puissance de 313 ch et pouvant accélérer de 0 à 100 km/h en 5,4 sec comme son homologue 6 cylindres essence. Toutes les trois moteurs peuvent atteindre une vitesse maximale de 250 km/h. Le Gran Coupé est une voiture qui cache bien son jeu, à commencer par le timbre du moteur qui paraît si suave mais qui ne manquera de se manifester à la première accélération pour vous coller au siège. La technologie Xdrive accompagne en option la motorisation et permet d’obtenir une tenue de route exceptionnelle. Pour ce qui est de la sécurité à bord, le Gran Coupé propose une myriade du système comme le contrôle dynamique de la stabilité DSC et de la motricité DTC, l’avertisseur d'angle mort, Avertisseur de franchissement de ligne, le régulateur de vitesse active ACC…etc. L’équipement est quant à lui vraiment généreux et même dès l’entrée de gamme avec sièges avant électriques, boîte de vitesses automatique sport à huit rapports, système de haut-parleurs hi-fi, sellerie cuir, système de navigation Professional, projecteurs bi-xénon, rétroviseurs électrochromes…


Il existe cinq niveaux de finition Exclusive Individuel, Exclusive, Luxe, Excellis et M Sport.

Le prix de la BMW Série 6 Gran Coupé à partir de 81 900 euros (modèle 640i Excellis)

7/11/2013

Volkswagen Touran

Lancée en 2003 dans un segment en pleine croissance, le Volkswagen Touran s’ajoute encore une fois à la longue liste des réussites commerciales accomplies par la firme de Wolfsburg.

En effet, le Touran s’est écoulé à plus de 1,13 million d’exemplaires, de quoi en faire l’un des modèles les plus vendus de sa catégorie. Le tout premier modèle commercialisé en 2003 souffrait à son lancement d’un design peu aguicheur à cause de ses lignes trop carrées, ce qui amena ses concepteurs à lui faire subir un restylage en 2007 et qui a eu pour effet de rafraîchir l’image du Touran qui avait en face de lui à cette époque un redoutable Renault Scenic , dominant le marché français. En 2010, une nouvelle ère commence pour le Touran avec sa deuxième génération qui comparée à la version précédente adopte les nouveaux codes stylistiques qui caractérisent les derniers modèles Volkswagen.


On peut ainsi découvrir la calandre chromée de la Golf 6 et les feux arrière du Touareg, sans oublier les pare-chocs qui ont été entièrement redessinés. S’ajoutent à cela, un hayon arrière légèrement bombé et des phares bi-Xénon dotés de projecteurs directionnels dynamiques.


Une métamorphose qui donne plus d’élégance et d’harmonie au véhicule mais ce n’est pas tout, le Touran réussi à faire d’une pierre deux coups et améliore son aérodynamisme en abaissant son coefficient de trainée jusqu’à 0,29, ce qui présage une diminution de la consommation.


À l'intérieur de l’habitacle, le Touran présente une modularité exceptionnelle, les trois sièges de la deuxième rangée peuvent ainsi être pliés, rabattus, décalés et retirés complètement, Il est même possible de les transformer en table.


Le véhicule dispose aussi de nombreux espaces de rangement comme avec le compartiment dans le ciel de pavillon ou sous les sièges avant. Quant au coffre il présente un volume de chargement qui s’échelonne entre 121 et 1 913 litres.


En plus de ça, le Touran peut accueillir jusqu'à 7 passagers, ce qui fait de lui un véhicule idéal pour les familles nombreuses.
Côté motorisation, le Volkswagen Touran embarque pour la gamme essence le moteur 1.2TSI de 105 ch et 1.4TSI de 140 ch. Pour le diesel, on trouve les moteurs 1.6TDI de 90 et 105 ch,  2.0TDI de 140 ch et 177 ch. Il ne faut pas oublier les blocs dotés de la dernière technologie BlueMotion et représentés par le 1.6TD et le 2.0TDI. Voyons de plus près le moteur 1.6 TDI BlueMotion délivrant une puissance de 105 ch, ce moteur affiche une consommation de seulement 4,5 litres/100km et des rejets entre 119 et 121 g/km pour la version accompagné d’une boîte à 7 rapports, ce qui représente une véritable performance pour un véhicule de ce gabarit pesant pas moins de 1,5 tonne. Du côté essence, le petit 1.2TSI est mine de rien efficace et offre des rapports fluides grâce à sa boîte 6 rapports, il n’est pas non plus trop glouton avec une consommation de 6,4 litres/100 km et des rejets de 149 g/km.
Le comportement routier est plutôt agréable avec un habitacle insonorisé et des suspensions souples.
Du point de vue équipement, le Touran offre des équipements très innovants selon les finitions, comme la caméra de recul Rear assist pour garer facilement, ou encore avec le volant multifonction qui permet d’utiliser la radionavigation et le téléphone portable et ça sans que les mains quittent le volant, le système d’assistance au stationnement en créneau, l’ordinateur de bord grand écran premium, rétroviseurs extérieurs électriques et dégivrants…etc.

Le prix du Volkswagen Touran à partir de 21 790 euros (modèle 1.2TSI Trendline)